Hollywood.boulevard

Can you tell me why your name is in the dictionary when I look up idiot ?

Samedi 13 juin 2009 à 12:58

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Mathilde , ou la fille toute folle des qu’elle voit un tobogan .
Collegue adepte des mèches potentiellement allemand de préférence , elle court plus vite que son ombre quand l’heure est grave ( uniquement quand l’heure est grave ), son rire s’accorde parfaitement au mien, et ses chaussures s’accordent parfaitement a mes pieds ( ce qui est tres pratique lol ) . Elle est tres douée pour nous dégoter des cas sociaux que meme cake le doyen n’arrive pas à gérer et arrive à taper des textos en un temps record  . Toujours au courant des derniers potins concernant tutu lulu titi lili et j'en passe et des meilleures , elle ferait une journaliste aguérie .
 
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Sandra , ou la maman/tata serieuse et diplomate .
Camaraade de classe , on aura bien ris au cours de ces années , à découvrir des choses auxquelles on ne comprends rien et qui surtout ne nous serviront jamais. Je sais pas ce que j’aurais fais sans elle pendant les lonngues heures de maths des apres midis ..Tres douée pour photographier les gens en cachette , elle m’est d’une grande aide au quotidien (et plus particulièrement quand guignol passe dans le coin) . Elle me fait des blagues pratiquement à chaque fois qu’on mange au lycée ( ca va me manquer ca cet été d’ailleurs xD ) , et est l’associée number one de mathilde quand il s’agit de courir vite.
 
Kévin , ou le vieux névrosé blasé de la vie.
Le seul cake qui n’est pas un gateau , champion du monde olympique de course apres un train, porteur professionnel de valise, il arrive a enchainer 15 conneries à la minute . Il est toujours prêt a sécher une heure de cours pour ne pas laisser ses amis seuls, ou à faire le tour de la cour avec un sabre laser . Futur traducteur en banlieue , il peut etre tres utile quand il s’agit de décrypter un message trop abrégé ou incompréhensible .
 
«  J’ai trop aimé ce qu’elle a dit mathilde là .
Ben elle a dit quoi ?
«  on peut manger ? »
Oui , et alors ?
Ba c’est quand même bête de demander si on peut manger dans un restaurant .
Ah .. ouais »
 
 En résumé : DES BARRES ( a la bien )

Ces descriptions sont ironiques , vous l'aurez compris je l'espere . Je trouvais ca bcp plus original que " ces gens sont géniaux blabla .. " :)
 

Jeudi 7 mai 2009 à 21:08

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"
J'ai pardonné des erreurs presque impardonnables, J'ai essayé de remplacer des personnes irremplaçables, et d'oublier des personnes inoubliables. J'ai agi par impulsion, J'ai été déçu par des gens que j'en croyais incapables, mais j'ai déçu des gens aussi.J'ai tenu quelqu'un dans mes bras pour le protéger, J'ai ris quand il ne fallait pas, Je me suis fait des amis éternels, J'ai aimé et l'ai été en retour, mais j'ai aussi été repoussé, J'ai été aimé et je n'ai pas su aimer, J'ai crié et sauté de tant de joies, J'ai vécu d'amour et fait des promesses éternelles, mais je me suis brisé le coeur, tant de fois ! J'ai pleuré en écoutant de la musique ou en regardant des photos, J'ai téléphoné juste pour entendre une voix, Je suis déjà tombé amoureux d'un sourire, J'ai déjà cru mourir par tant de nostalgie et j'ai eu peur de perdre quelqu'un de très spécial (que j'ai fini par perdre).. Mais j'ai survécu ! Et je vis encore ! Et la vie, je ne m'en passe pas.. Et toi non plus tu ne devrais pas t'en passer. Vis ! Ce qui est vraiment bon, C'est de se battre avec persuasion, Embrasser la vie et vivre avec passion, Perdre avec classe et vaincre en osant, Parce que le monde appartient à celui qui ose et la vie c'est beaucoup trop pour être insignifiante !"

- Charlie Chaplin -

Lundi 22 décembre 2008 à 11:16

Tous à la recherche d'une quelconque explication qui semble s'enfuir lorsque l'on tend la main, nous avonçons sur le chemin de la vie, ne souffrant d'aucune carence nous sommes les maîtres de nous-même. Aucune raison de souffrir réelle, voyant sans pouvoir agir la malchance se propager de tout côté autour de nous, sur tous les continents, nous avons les sourcils froncès devant la plus dure des horreurs : la réalité. Comme soucieux d'être heureux nous trouvons des soucis afin d'agrémenter notre vie d'une petite dose d'adrénaline ou d'excitation pour faire palpiter nos coeurs de glaces enlysés dans le confort matériel que notre société a mis en place. Nous vivons dans la construction de l'Homme, nos maisons, nos routes, nos voitures, nos vélos, nos lycées, nos ports sont quelques unes de ses oeuvres et nous avons presque perdu la notion de l'importance, puisque nos problèmes ont pris une dimension intensément trop profonde et personne ne semble calculer à quel point nos gestes sont décalés et nos vies concentrées sur un but futile comme l'appât du gain. Nous éprouvons parfois le besoin de nous ressourcer, mais la verdure ne fait plus partie de nos paysages, et la petite fleur qui pousse sur un infime brin d'herbe et entourée de toutes parts de béton et on ne s'en soucie plus. Voyez comme nos chemins sont déjà tracés, voyez comme nos vies sont contrôlés, voyez comme nous sommes soudain petits face à l'élite qui nous gouverne. Nous avons des choses à prouver, des choses que l'on nous force à prouver. Chaque année de nos vies est décidée, nous irons à l'école jusqu'à nos 16 ans, nous passerons un bac à nos 18 printemps et nous serons adultes ensuite, on sera ensuite "jeunes actifs", puis trentenaire, puis vint le moment d'être parent et puis vieux et pour finir par être incarcéré dans la pire des prisons ; la maison de retraite avec son parc carré et ses fleurs si bien plantées en forme de coeur. Vous pourriez me decevoir grandement en affirmant que cette vie là vous attire. Nous recherchons plus de cette réalité, changeons ces vieilles habitudes qui finiront par avoir nos peaux intoxiqués déjà par la société de consommation qui nous détruit tous, pour quoi ? Pour nous troquer contre quelques billets. Halte.


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