Hollywood.boulevard

Can you tell me why your name is in the dictionary when I look up idiot ?

Dimanche 13 juin 2010 à 10:53

http://hollywood.boulevard.cowblog.fr/images/DSCN1671.jpgDerniere date sur ce blog : samedi 5 septembre 2009. Pratiquement 10 mois que je ne suis pas venu ici . Manque de temps oblige . 

Et je relis les derniers articles , écoute les dernieres musiques et regarde les dernieres photos postées . Et je me rends compte qu'en seulement 10 mois tout change . Ce blog ne s'apparente plus à moi , tant les choses ont changées . On me dirait que ce blog appartient à quelqu'un d'autre , j'y croirais volontier . C'est là que l'on se rend compte à quel point les gens et les choses peuvent changer . 

Reste à ré écrire , à effacer , modifier , restaurer . Avec de nouveaux points de vue , de nouvelles idées , des gens qui ne font plus partis de ma vie et d'autres qui y sont entrés . D'autres qui sont restés , identiques au passé , aussi rares soient ils , ceux là sont les plus précieux . 
Pour ce qui est d'écrire , il y a tellement de sentiments à faire ressentir , de choses à expliquer , déclarer , exterioriser , l'inspiration n'est pas prete de s'en aller . Pour ce qui est du temps , il est plus dur de le trouver , mais j'en aurais un minimum pour recommencer à blablater . Oui , parce qu'apres tout la vie , c'est cela : un eternel recommencement . 

Ah oui , j'allais oublié , je vais me chargé de l'arriere plan , quand j'aurais un peu plus de temps ; minute papillon !
 

Samedi 5 septembre 2009 à 22:46

On se mesure à trop grand je crois. Nous sommes minuscules, à travers de vulgaires boites en verre, observés par des oiseaux de passages. De mauvaise augure surtout. Mais l'on ne remarque rien. Avec nos rêves trop loin, nos envies qui ne savent pas encore tenir nos mains, tout ça, qui ne semble pas vouloir s'accélérer. Réveillez-vous, si le ciel est immense aujourd'hui, il n'est pas pour nous. On se dit vivre. On se dit pouvoir le faire . Mais on ne sait même pas avancer sans se perdre. Il nous faudrait d'immenses phares, tout autour, qui cacheraient le bout de la route. Parce que l'on se découragerait, à voir qu'elle ne finit pas. Voilà , l’été s’en va gentiment . Deux mois sont passés , trop vite c'est sur . C'est fou toutes les choses qui peuvent se passer en deux mois en fait .  On est au pied du mur et on se retrouve devant l’inconnu . On repense à ce passé proche histoire de se rassurer . On réagit spontanément , et on panique . Eux ils font ce qu'ils peuvent , mais ils comprennent rien , le peu qu’ils comprennent c’est de travers , ils arrangent pas les choses faut dire .
Alors tu vois, on fera comme ça. A continuer de rêver. A tout idéaliser.  On continuera, quitte à passer en boucle ce futur, à la place de vivre correctement.

Pour l’instant , il faudrait en profiter . Mais y’a des soirs comme ca , où tu te perds dans tes pensées. Tu vas peut etre trop loin , au risque de te faire envahir par la tristesse .
Alors tu vas te coucher , en espérant que le lendemain la vieille brume angoissante t’ai quitté pour faire place à de nouveaux rêves ..  

http://hollywood.boulevard.cowblog.fr/images/polaa.jpg

Dimanche 30 août 2009 à 17:44

Je ne compte plus toutes ces nuits à penser à toi. Je sais que tu es là mais à la fois si loin de moi. Comment savoir si nos choix sont les bons ? Pour ma défense, il faut que tu sache que tu me mets dans un drôle d'état quand je te vois. Je ne saurais expliquer ce qu'il y a entre nous. J'ai d’abord songé à l'attirance. Mais la simple attirance ne fait pas battre un coeur lorsque une fenêtre de conversation s'ouvre, ton prénom en guise d'alerte. J'ai crû ensuite en une amitié, mais les sous-entendus sont trop nombreux pour croire à une relation de ce type. Puis au fil du temps j’a compris que c’était l’amour , même si je me suis toujours refusé à employer ce mot auparavent. A y réfléchir, je crois que je suis simplement dingue de toi. J'essaye en vain de penser à autre chose que toi mais ton image est là comme une obsession, quoique les gens fassent ils ont quelque chose de toi. J'essaye en vain de penser à autre chose que toi. Et j'ai du mal à écrire , les mots ne sont pas à la hauteur. Je te veux près de moi mais une interrogation m'apparaît. Seras-tu là ? Mon amour, seras-tu là ?


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Mercredi 26 août 2009 à 13:59

Mardi 4 août 2009 à 19:27


" Moi je voulais juste un corps , je cherchais seulement des bras, un lit de réconfort des délices sous les draps , mais hélas au lieu de ca , j'ai cru entendre je t'aime , j'ai pensé c'est son problème ... 





.. Etre un corps je suis d'accord , t'offrir mes bras pourquoi pas , mon lit ok encore pour rire et en salir les draps , mais je crains que pour tout ca , tu doives entendre je t'aime ."

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